Reprise du Dialogue
Chéris, chéries,
Emporté par le tourbillon des choses de la vie, j'ai dû m'éclipser de la toile pour mieux revenir, guilleret et prêt à affronter les tornades moribondes !
À mesure que je prends de la bouteille et que mon aspect pondéral s'étoffe, la révolte se fait plus dense et j'ai envie de crier... "Merde ! Ce monde est carrément fou dégueux !"
Ainsi, je ne chôme pas dans la satire. Chaque jour levé tôt avec mes complices volants, je continue mon investigation titanesque contre l’infamie.
C'est vrai qu’il ne manque plus que la parole aux oiseaux des villes.
En interprète attentif, je prête l’oreille aux grommellements, aux râles, aux roucoulades pour livrer la vision lucide de mes pigeons chétifs.
Adossé contre un platane, le front en l’air et les pieds calés sur un cercle terreux de trottoir, je te regarde, monde barbare ! acharné dans la mêlée, armé d’ironie contre la désespérance… Animaux, gare à la fiente !
Emporté par le tourbillon des choses de la vie, j'ai dû m'éclipser de la toile pour mieux revenir, guilleret et prêt à affronter les tornades moribondes !
À mesure que je prends de la bouteille et que mon aspect pondéral s'étoffe, la révolte se fait plus dense et j'ai envie de crier... "Merde ! Ce monde est carrément fou dégueux !"
Ainsi, je ne chôme pas dans la satire. Chaque jour levé tôt avec mes complices volants, je continue mon investigation titanesque contre l’infamie.
C'est vrai qu’il ne manque plus que la parole aux oiseaux des villes.
En interprète attentif, je prête l’oreille aux grommellements, aux râles, aux roucoulades pour livrer la vision lucide de mes pigeons chétifs.
Adossé contre un platane, le front en l’air et les pieds calés sur un cercle terreux de trottoir, je te regarde, monde barbare ! acharné dans la mêlée, armé d’ironie contre la désespérance… Animaux, gare à la fiente !
Des indices sur les histoires à paraître ? Sous le règne de pigeon premier, qui a pénétré la fumée épaisse des usines d’incinération subit une métamorphose. Et, tandis que des logos rassurants se fanent au fond du gosier d’une poubelle mutante, Bacchus veille sur la France !
Merci amis, Merci lecteurs !
Salut Urbanus Fientus !
Vive la revoyure !